vendredi, août 19, 2005

Tant que le coeur battra...



La lune s'élève et mes pensées se perdent, à nouveau

De trop ?

De trop... pour toujours... Tous les jours

Personne n'aime ce côté de soi qu'on s'oblige à chaque instant à cacher sous un sourire.

Qui pourrait l'aimer d'ailleurs ?

Rien qu'une impression

Rien qu'une vie de passage...

Rien que moi





Et ces mots que je traine depuis longtemps déjà au hasard de mes é-cris

C'était écrit, c'est écrit et ce sera écrit...

Merveilleuse solitude, tu es la seule à qui je peux plaire comme je suis.

Seule

Si seul...

Si seulement ils gardaient leurs yeux d'enfants, ils verraient eux aussi.

Tu verrais toi aussi

Une seconde

Une troisième...




C'est ici que tout se perd

C'est ici que l'on s'endort pour mieux se réveiller les yeux fermés sur un lendemain identique à tous ces hiers...



Tant que le coeur battra...








(Pad)


L'amour


A l'amour...



Je tends vers toi toute ma tendresse

Toi, Venom, qui m'empoisonna

M'emprisonnant dans cette tristesse

Qui fit de moi ce que tu vois


Je sais jamais tu ne m'as aimé

Mais peu m'importe si aujourd'hui

Tu accepte encore de bercer

Mes rêves d'amour à l'infini...



(Pad)

Comme elle est


Ce texte aurait du faire l'objet d'une chanson d'Aura...
Mais je n'ai jamais réussi à trouver la musique correspondant au texte...

Alors il finira sur ce blog,

A la vue des quelques visiteurs égarés qui ne savent pas quoi faire de leurs journées...



Avec un pensée particulière pour Noa ...

Et pour toutes celles qui n'arrivent pas à croire qu'on peut les aimer telles qu'elles sont... qui qu'elles soient.

On vous aime


Bien à vous.



Pad





Comme elle est :

Elle se réveille à côté de moi
Au bout de lit comme d'habitude
On vit ensemble depuis des mois
A deux mais dans la solitude

Elle dit que je n'peux pas comprendre
Ses crises, ses pleurs et sa souffrance
Alors je reste là à attendre
Qu'elle daigne sortir de son silence

Du haut de ses 28 kilos
Elle me regarde, les yeux mouillés
Avant de partir au boulot
Elle s'en va se remaquiller

Sans un baiser et sans un mot
Elle repart pour toute une journée
Je reste là comme un idiot
Elle claque la porte, toute angoissée

Emmitoufflée dans son manteau
Pour qu'on ne puisse pas remarquer
Qu'elle n'a que la peau sur les os
Et ça depuis quelques années

Elle rêve que son corps soit comme ceux
Qu'on peut voir dans les magazines
Vous savez, ce sont ces fameux
Grands idéaux minces qui fascinent

Alors elle se prive, elle se prive
Et lorsqu'elle craque, elle évacue
Elle s'enferme, elle se sent fautive
Ne sort que quand elle n'en peut plus

Elle marche aux côtés de la mort
Elle ne sait plus, elle est perdue
Je sais qu'elle le fera encore
Jusqu'à ce que l'ano la tue...

Mais tout l'amour que je lui donne
Pourra-t-il un jour faire le poids
Contre cette image qui l'assome
Et qui nous consume elle et moi ?

Avec l'amour que j'ai pour elle
Autant de patience et d'espoir
Elle reste pour moi la plus belle
Quoi qu'en dise monsieur son miroir

Avec l'amour que je lui porte
Arrivera-t-elle à accepter
Qu'même si la maladie l'emporte
Je l'aimerai toujours come elle est...





(Pad - écrit en 2004)


Soleil couchant...



Un soleil qui se couche

Sur un horizon bleu

La carresse de la bise

Et sur le sable chaud

Nos deux corps qui se touchent

Et les yeux dans les yeux

De surprise en surprise

Tout est un peu plus beau




(Pad - Juillet 2004)

mardi, août 16, 2005

La musique adouci les moeurs



Parce que la musique adouci les moeurs
Parce que je l'aime trop
Et parce que certaines d'entre elles ont des gouts de souvenirs

J'ai déplacé les chansons sur un nouveau blog :

------------> [ Ici ] <------------

Puis si y a des paroles de chansons que tu ne connais pas,
je te conseille vivement de les écouter...

Et si tu ne les trouve pas, demande-les moi !


(Pad)

vendredi, août 12, 2005

Eyes On Me...



Je chante des chansons
C'est ca mon évasion
Quand j'ai trop mal au coeur
Quand j'ai froid, quand je pleure

Et toi quand tu me souris
C'est comme un bout de paradis
J'ai encore envie de t'aimer
Mais vas-tu... me pardonner ?

Depuis qu'on se connait
Je n'ai pensé qu'à toi
Est-ce que j'y arriverai ?
A te chanter tout ca

J'aimerais que tu me revienne
Et me regarde avec ces yeux là
Comment soigner ta peine ?
Est-ce que tu veux encore de moi ?

Céline, dis moi tout bas
Des mots plein d'innocence
Je te désire près de moi
Ne garde pas le silence

Si tu n'me pardonne pas
Je n'aurai qu'à partir très loin
En chantant ce refrain :
"J'ai été heureux de croiser ton chemin..."

Et si tu prends ma main
Si tu y crois encore
Je t'aimerai si fort
Que plus jamais tu n'auras de chagrin





(Pad)


jeudi, août 11, 2005

soupir



J'ai des vérités au fond du coeur que je voudrais cracher comme on cracherait une arrête de poisson qui serait restée pendant des années en travers de la gorge

Des vérités sur tous les hommes
Sur toutes les femmes

Des inimaginables vérités qu'on oserait même pas imaginer en cauchemard, des secret inavouables, même pour un casseur de principe, un baffoueur de morale, un hors la loi comme moi.

Il n'y a rien à faire

Je ne pourrai rien y changer

La vérité que personne ne voudra entendre, de toutes facons


L'important, c'est qu'on soupire encore en coeur...